Lundi, nous allons au Musée Maillol pour le nouvel accrochage de ses collections. De Maillol nous connaissions la Méditerranée de la mairie de Perpignan et nous n’étions pas vraiment tombés sous son charme ! Notre impression est confirmée ici !
L’expo nous a tout de même permis de découvrir les toiles de deux peintres russes des années 30, Oskar Rabine et Erik Boulatov et les œuvres naïves mais pas du tout nunuches de Camille Bombois. Et la vie de Dina Vierny, compagne et muse de Maillol, collectionneuse d’art à l’origine de cette collection.
L’expo nous a tout de même permis de découvrir les toiles de deux peintres russes des années 30, Oskar Rabine et Erik Boulatov et les œuvres naïves mais pas du tout nunuches de Camille Bombois. Et la vie de Dina Vierny, compagne et muse de Maillol, collectionneuse d’art à l’origine de cette collection.
Un petit tour au Bon Marché et nous retrouvons Jean-Marie qui nous invite chez Ladurée pour un five o’clock digne de Marie- Antoinette : Elysée tout chocolat et Millefeuille à la reglisse.
On papote dans un boudoir et le temps passe trop vite …
Nous retrouvons Thierry pour l’apero à l’Etincelle, derrière l’Hotel de Ville, dînons dans un restaurant gay du Marais, Zerestoo, collés à nos bearissimes voisins de table.
Nous retrouvons Thierry pour l’apero à l’Etincelle, derrière l’Hotel de Ville, dînons dans un restaurant gay du Marais, Zerestoo, collés à nos bearissimes voisins de table.
Paris est surpeuplé, d’accord, mais faut-il vraiment faire entrer quinze tables dans une salle de 10 mètres sur 8 ?
Mardi, shopping et encore shopping puis dîner avec Natoune aux Marronniers, dans le Marais. Comme toujours avec la Natoune, c’est délire garanti toute la soirée !
Mercredi et c’est déjà la fin de notre séjour. Non !!!
Pour finir en beauté, balade en amoureux à Saint Germain des Prés, avec ses ruelles et son Café de Flore. On y croise Juliette Gréco, plus vivante et souriante qu’à l’écran et l’immonde Sulitzer, avachi à la table d’à côté. Puis deux expos new yorkaises : Keith Haring et Boogie, diamétralement opposés, couleur et fausse naîveté contre réalisme cru en noir et blanc. D’autres galeries mais il est déjà l’heure de rentrer préparer notre valise.
Un merci à Evelyne et aux enfants et c’est la Gare de Lyon et après cinq heures de train, vous avez bien lu ! , on tombe sur Changaili et son Papounet qui nous sauvent en nous déposant chez nous. Vous avez déjà essayé de trouver un taxi à la gare Saint-Charles à presque deux heures du mat’ ?!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire