28 mars 2008

Sans savoir la chance qu'ils ont...


Le dernier Klapisch n'était pas aussi décevant que les différentes critiques l'ont annoncé.
C'est vrai que le côté superficiel entraîné par le choix du film choral nous a un peu laissé sur notre faim et que les trop jolies images de Paris font plus penser à un film touristique international qu'à du cinéma d'auteur.
Mais les rapports du frère et de la soeur, joués par Duris et Binoche, sont tellemnt émouvants et vrais qu'ils font oublier tout le reste.
Binoche n'a jamais été aussi touchante et simplement belle qu'au moment où elle apprend la mauvaise nouvelle de son frère ou quand elle se surprend à repenser à séduire un Dupontel fragile et craquant. Elle seule suffit à faire aimer ce film malgrè tous ses défauts. Et Romain Duris, ben, c'est Romain Duris !!!
Des extraits, des photos et plus ici.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

oui mais non! d'accord pour Binoche mais ça pue quand-même le chacun cherche sont chat! crevé en l'occurence...et Duris ben ouai qu'est-ce qui peut faire d'autre que de jouer la victime en nous montrant su cul!
la_saloperie

Anonyme a dit…

Toujours aussi mauvaise je vois ! T'as perdu la télécommande de ton vibro ou quoi ?

Anonyme a dit…

Gorion a enfin vu les Chansons d'amour, au Japon... deja 2 fois, et il est tombe amoureux de ce film.